C’est avec le plus grand regret que je vous annonce aujourd’hui le décès de Monique Le Pailleur (Aurise) survenu lundi le 27 janvier à 2 heures (heure de Montréal). Monique est décédée à la suite de complications survenues après une intervention chirurgicale subie le 7 janvier dernier.
Vous pouvez laisser des messages de sympathie dans la section commentaires. Je vais m’assurer de les publier et de les communiquer à sa famille et à ses amis.
André Roux
Administrateur d’Éclectico
Grande tristesse…
Quand les mots ne peuvent plus dire l’émotion
C’est qu’ils nous manquent…
Tant de beauté, tant d’idées, tant de poésie
Vos mots, eux, restent
Merci, Monique Le Pailleur
En effet une nouvelle triste, une nouvelle qui nous laisse sans mot.
Je te dis merci Monique d’avoir été un modèle pédagogique et humain pour moi. Merci pour ton travail minutieux de lectrice généreuse offrant tes découvertes, tes synthèses, tes interrogations et de tes pistes pour nous tous (les conseillers pédagogiques, les enseignants)…
Ton oeuvre pour l’avancement de la pédagogie au Québec est indéniable. Tes travaux m’ont inspirée, tes formations m’ont fait grandir, ton temps de discussion m’a fait évoluer vers d’autres façons de voir les choses. Ton dernier travail remis pour DL, le 27 décembre 2014, en témoigne : tu livres toujours plus que ce que le client demande, dans une qualité de travail incomparable et avec des propos justifiés et fondés.
Une belle personnalité nous quitte, le monde pédagogique en est profondément attristé. Courage à la famille.
Monique… Que dire… La dernière discussion remonte déjà à quelques mois. Elle était virtuelle, comme depuis bon nombre d’années, mais jamais je ne t’ai sentie loin. Tu as eu ce pouvoir, comme disait un de nos amis communs d’Outaouais, d’être à propos en tout, dans la forme comme dans le fond. Tu lisais la personne comme tu décodais un texte, avec une intelligence hors du commun. Avec gentillesse. Avec un intérêt non feint pour l’humain.
Parler de toi au passé, c’est difficile. Tu me manqueras. Je conserve ta place, et dans ma tête et dans mon coeur, bien au chaud. Tu resteras vivante, Monique. Salut!
j’ai peu connu Monique, et uniquement sur Facebook, mais j’ai apprécié chacune de ces interventions, pleine de pédagogie et de finesse. On te regrette déjà beaucoup Monique, et je t’envoie mes plus amicales pensées où que tu sois.
Eh bien, sans vous connaître, je suis néanmoins bien triste de ne plus voir votre belle mine réjouie et sympathique, qui répondait présent à toutes les publications, même les plus anodine et les plus éphémères, dont j’étais l’auteur…. Bien triste.
Et si on pouvait mettre des fleurs, sur ce forum, j’en mettrais d’abondance.
Dommage pour vous, de quitter la vie si jeune encore….
Vous nous manquerez !
Yvette Ghesquière
Monique était une grande dame. D’une gentillesse et d’une générosité infinies. Je garderai d’elle un souvenir lumineux et plein de tendresse. Au revoir, Monique.
Monique tu laisses ta famille dans un grand deuil. Je ne sais pas comment je vais faire pour ne plus jamais aller te voir chez toi. Tu me manques tellement. Tu étais la personne la plus douce que j’aie jamais connue, toujours prête à pardonner à ceux qui te blessait profondément. Tu étais la bonté et la douceur sur terre. Je t’aime à jamais.
Sa grande gentillesse, son humilité malgré sa grande, très grande expertise, son attitude rassurante et valorisante laissera une marque profonde dans nos pensées. Elle nous laisse dans un monde meilleur parce que nous avons eu la chance de la connaître.
Monique,
Que dire que la tristesse s’installe à l’instant de ton départ. Tu as été une complice à plusieurs égards, nous avons partagé des mots et des idées, mais aussi des visions, des conceptions et des croyances. J’ai pu admirer à plus d’une reprise ton haut sens du savoir, ta grande humilité, la hardiesse de tes convictions et ton altérité indéfectible.
Je te remercie d’avoir été dans mon existence une source vive tant au plan intellectuel qu’au plan amical. J’ai toujours apprécié ces moments intimes où l’intégrité des mots rehaussait tout le sens d’être humains. D’aucuns se souviendront de ton humanité. Tu es une grande Dame.
Mes condoléances aux membres de sa famille, aux amis et aux collègues.
Donald
Une grande dame vient de nous quitter !
Elle laisse, dans chacun de nous, un héritage extraordinaire : une passion communicative pour la vie, l’amour, l’amitié, la pédagogie et la lecture !
En chacun de nous, elle vivra par cette flamme qu’elle nous a tous laissé.
La première fois que je l’ai rencontrée, j’étais impressionné, intimidé. Et puis, par la magie de ses yeux, je suis ressorti de son petit bureau, transformé. Comme si c’était elle qui avait été intimidée ! Comme si c’était moi qui l’avait impressionné !
Une amitié était née, hélas, trop courte!
Jamais je n’oublierais ces heures que j’ai passé avec elle, entourés des livres de ce bureau, où on échangeait sur la pédagogie tout en terminant nos rencontres en parlant de nos lectures.
Merci Monique pour cette amitié !
Merci Monique pour le temps que tu m’as accordé !
Il me restera toujours, au fond du coeur, le souvenir d’une femme et d’une pédagogue hors du commun.
Mais avant tout, je garderai l’image de cette grande dame qui nous a tous rendu un peu meilleur !
Monique a rejoint mes chers disparus,j’ai aimé ce qu’elle est et restera dans mon esprit!
Courage à ceux qui l’aiment!
Chère Monique,
Nous portons en chacun de nous les traces de ta grande générosité. Tu as tellement donné, tu m’as tellement appris.
Merci Monique et où que tu sois, repose-toi.
Louise Boisvert
Je ne connaissais Monique que par le biais de facebook, où j’ai un jour eu la bonne idée de la demander en contact. Elle a fait alors partie des rares profils que je visitais régulièrement, parce que j’y trouvais une source renouvelée de culture plurielle: peinture, écriture, poésie, lecture, chansons, musique…! Française, par delà l’océan, et par la seule grâce du virtuel, j’ai beaucoup appris de Monique, québécoise qui aimait partager ses découvertes et ses passions multiples. Je ne l’ai pas connue plus avant, mais la qualité et la diversité de ses posts va me manquer. Je suis heureuse de lui avoir dit un jour, en privé, ce que je viens d’écrire ici: je crois que cela lui avait fait plaisir. Mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches.
Monique , tu es partie si vite , nous avions plein de projets ensembles qui ne seront jamais réalisés , la vie sans toi va être des plus difficile ! Tu resteras à Jamais Ma Momo , on me conseille de ne pas craquer , mais je ne sais pas faire semblent ,j’ai mal , très mal ! tu resteras à jamais dans mon cœur meurtrit aujourd’hui ! au revoir ma belle <3<3
Mes sincères condoléances à sa famille, ses amis et proches, ceux qui sur Facebook l’on comme moi grandement apprécié.
J’ai adoré communiquer sur le réseau avec Monique, pleine de finesse, de tac, de gentillesse, d’humilité, valorisante et reconnaissante..
Nous avons échangé l’amour des mots qui touchent et qui restent, comme restera d’elle le meilleur de son talent qu’elle aimait partager et stimuler chez les autres…
Chère Monique, tout mon respect, mes prières t’accompagnent pour l’éternité.
Salut,
Hommage et gratitude pour cette grande dame ,qui a semé le partage de ses nobles émotions ,et l’amour dans ses relations pour un monde meilleur , Je présente mes sincères condoléances à sa famille, ses proches,et ses amis ..
Sincères salutations
Ma chère Monique, ma très chère grande sœur : tu as su régulièrement embellir mon existence en permettant à tes mots de glisser directement vers mon cœur. Tu savais si bien atteindre le sens caché et sacré de la vie en créant un pont entre le visible et l’invisible. Tu savais danser entre ces deux mondes et les relier pour faire naître en moi, un émerveillement sans bornes. Je garde vivant ce que nous avons su toucher de plus haut. Je te rends grâce pour avoir nourri de densité ta vie ainsi que la mienne. Malgré l’énorme tristesse qui m’habite présentement, je sais que tu n’es pas loin, juste là, de l’autre côté.
Force à vous, vous êtes d’un sang commun empreint d’une telle richesse, la
virtuosité des mots est la traduction de la composition et l’élucubration de la pensée menant à une telle variation qu’est l’universel.
Merci***
Tu as littéralement changé ma vie… À mes premières années comme cp, tu savais toujours trouver les mots pour me réconforter… Ta sensibilité m’aura marquee à jamais, tu étais un ange et tu le seras toujours pour moi. Merci encore pour le livre Dessine-moi l’intelligence, que tu m’as gentiment offert en 2004. Je m’en sers encore régulièrement… Merci merci merci merci merci merci merci… Je vais écrire des tautogrammes en pensant à toi! Je suis tellement reconnaissante de t’avoir connue! Grosses bises dans l’au-delà, je t’adore… Xxx
Monique un premiers message t’étant destiné , n’a pas été retenu ! mais ton souvenir restera à jamais gravé dans mon cœur meurtrit ! tu me manques terriblement ! Je garde pour moi les projets que nous ne pourrons accomplir ♥♫♪♫
Je suis très attristée par le départ de Monique. J’aurais tellement aimé la rencontrer suite à nos échanges sur internet. En souvenir d’un projet scolaire pour lequel elle m’a beaucoup aidée et de nos échanges, je lui dédie ce site qu’elle avait tant apprécié. http://eausanso.brigitteleonard.com/
Toutes mes sympathies à sa famille et ses amis.
En souvenir de Monique Le Pailleur
Pour tous ceux qui pensent que sur FB il n’existe que de fausses amitiés imaginaires, car dites « virtuelles »,
j’ai la très grande peine d’avoir appris le décès de Monique qui était mon « amie FB » depuis plusieurs mois.
Nous avions la même passion du langage, de l’OULIPO et de la transmission, en didacticiennes et pédagogues chevronnées.
Nous commencions à « communiquer » et à partager vraiment nos goûts et nos vies, notamment depuis le retour de sa récente opération.
Elle me manquait depuis une quinzaine de jours. C’était mon amie de la nuit.
Elle continue et continuera de me manquer.
À toute sa famille, notamment sa sœur, sa cousine, vues sur ce réseau hier, et ses amis de la vie réelle et de la vie dite « virtuelle », sachez que je pense très fort à elle.
Personne n’est dupe. Nous savons tous bien qu’il y a de vrais beaux humains sur cette toile derrière ces murs.
Nous venons d’en perdre un.
Je suis très ému par la nouvelle de la disparition de Monique.
Une pensée affectueuse pour ses proches.
Frédéric
Monique …
je ne parviens plus à jouer avec les mots
ni à écrire ce que tu ne liras pas.
Le lipogramme absolu :
un silence interminable,
la page blanche d’un poème inécrit.
Que ceux qui t’aimaient et que tu aimais
reçoivent mon amitié et mon amour.
Rencontrée sur ton site , Patrick, cet enchevêtrement de vos mots et idées en variation in tempore sont des moments précieux que tu nous as offerts et fait découvrir une richesse de l’âme…. Merci et Force à Toi
Pour moi, Monique était le «passeur culturel» par excellence. Échanger avec elle, c’était voir s’ouvrir tout un univers, c’était aussi lui ouvrir tout un univers. Car la richesse de cette femme, c’était son immense curiosité, son intérêt profond pour les personnes, ce qui transformait toutes les conversations en échanges réels et sincères.
Merci Monique, tu vas beaucoup me manquer.
Monique Daya ma sœur adorée,
Tu seras toujours avec moi en pensée et dans mon cœur.
Je remercie l’existence de t’avoir comme sœur a jamais et pour toujours.
Ta grande sensibilité et générosité m’ont permis d’évoluer en étant une meilleure personne, grâce a toi. Je te suis reconnaissante pour ta présence et ton amour pour moi. Je rend hommage a la femme merveilleuse que tu es.
Un grand merci a vous tous d’être la pour elle.
Force à vous,
Merci à Monique de nous avoir permis à tous l’évasion vers l’universel et l’émerveillement de la V ie
Contente de te recroiser Aline… malgré les circonstances… Tu m’as quand même donné ma « première job »…
Merci Monique pour toutes les découvertes que je te dois. Merci aussi pour tes commentaires toujours sensibles et élégants. C’est une grande tristesse que tu sois partie si vite.
Adieux
Je ne connaissais Monique Le Pailleur que par les réseaux sociaux mais d’emblée son humanité, sa générosité et sa gentillesse transparaissaient au delà de sa virtuosité de grande manieuse de mots devant l’Oulipo. Elle était une de ces trop rares personnes dont le simple fait de savoir qu’elles existent rassure et réconforte. J’ai cru comprendre qu’elle s’occupait d’enseignement: elle a certainement dû être une merveilleuse professeure. L’annonce de son décès a été un choc pour moi comme pour bien d’autres qui ne la connaissaient qu’au travers de son avatar dont j’aimais le visage d’enfant à la fois sérieux et bienveillant. Je ne pense pas qu’il y ait des mots pour dire ce que doivent ressentir sa famille et ses amis du monde. Nous tous qui la connaissions resterons orphelins d’elle.
Rester orphelin d’elle, c’est très bien dit… C’est comme ça que je me sens… Merci pour tes bons mots mon ami P-H…
Monique, ma belle sœur….mais surtout mon AMIE…je te revois sans cesse venir m’accueuillir au seuil de la porte de ton bureau…me tendre la joue afin que l’on échange un baiser…avec ton sourire si tendre et tes yeux pétillants tu me fesait sentir si importante et unique…c’est l’image qui me reviens toujours de toi et qui restera a jamais dans mon cœur… Un jour lorsque je passerai de l’autre côté, sera tu là pour m’accueillir de cette façon ? Tu m’as manqué ces dernières semaines, tu me manques présentement et tu me manqueras toujours… JE T’AIME…………BEAUCOUP
Un baiser dont les marques sont le moule de la vie, la couleur chaleureuse laissant son empreinte indéfectible**
La fille d’en haut.
Tu vas me manquer, comme une baignade d’après-midi ensoleillée, immergée dans une eau apaisante, chauffée pour l’occasion!
Tu y étais heureuse, dans tes pensées, toujours prête a partager un espace, du temps et des mots.
Le gars d’en bas.
XXX
Sincères condoléances…
merci,Monique,pour nos échanges facebookiens.Je pense à toi.
Monique
Femme d’ombre et de lumière
Femme de plume et de clavier
Femme de mots et d’images
Femme de cœur et d’esprit
Femme du réel et du virtuel
Monique l’éternelle
TOUT À COUP
Comme les nuages sont insignifiants
Comme les arbres sont hiver
Comme la neige voudrait reprendre son souffle
Comme le vent siffle sur mon âme pétrifiée
Comme la Terre se liquifie dans mes souvenirs
Comme les montagnes me rappellent à toi
Comme les oiseaux enfantent ailleurs
Comme les fleurs voyagent inlassablement de la lumière à la nuit
Comme l’univers est tellement vide de ta voix… et gorgé de tes pensées
Comme tu me manqueras !
De la source d’inspiration à la « mère » de gratitude, surplombe un ciel constellé de mots qui résonnent avec tous ceux que tu reçois en ce moment de ce bas monde.
Ton amie qui t’aime profondément pour toujours, Diane.
À+
Tiré de sa première série de Petits poèmes lipogrammatiques (14 avril 2013)
Sur son blogue http://eclectico.effetdesurprise.qc.ca/?p=3832
TRANSCENDANCE
Anges et archanges
Célestes et terrestres
Avancées de tendresse
Attentes à rattraper
Mantras entrelacés
Présence désarmée.
«L’absence est la présence extrême.»
Monique Le Pailleur
Monique aimait les mots. Monique aimait le jeu. Monique aimait la pédagogie. Monique aimait les défis. Et nous, nous aimions Monique…
Avec elle, on remixait la littérature, on supprimait des lettres, on écrivait des histoires à coup de trois mots ou de 140 caractères : on s’amusait comme des fous. On inventait d’autres possibles, on réfléchissait au mieux, on ouvrait des portes : on rêvait à une école idéale.
Et maintenant, qu’allons-nous faire que tu es partie?
On dira, Monique en souvenir de toi, des mots doux, des mots de miel, des mots divins. On dira des mots magiques, de délicats mensonges.
On dira, on dira, Monique en souvenir de toi, des myriades de mots, des discours malicieux, des mots majestueux, de délicates mélopées, des murmures mystérieux.
On dira des désirs dodus. On déliera de défi en défi le fil des destinées, Monique en souvenir de toi. On rêvera de dissidence extrême sans hésiter dans l’impatience rebelle. On planera sans limites ni regrets. On enfantera l’infini. On magnifiera l’existence. On tissera ici et là des reliefs indécidables sans attendre d’habiter l’instant et de s’y perdre.
On se délestera des doutes et on diluera la mort. On se délivrera de la monumentale douleur. On ensemencera la réalité d’images débridées. On réalisera nos rêves et surtout, surtout, surtout ici, avec vous tous, Monique en souvenir de toi, on en imaginera d’irréalisables et on continuera d’écrire car tu le savais, écrire, c’est extirper du rien le merveilleux d’une présence imprévue.
À toi, in memoriam, ma belle amie,
Nathalie
Une plume extraordinaire s’envole au pays qui va au-delà des mots.
Quelle tristesse!
Monique, on vous croyait pourtant éternelle. Merci pour votre si généreuse contribution. Bon voyage vers d’autres horizons.
Hommage à mon amie Monique Le Pailleur
Enfermé dans ce no man’s land qu’est devenu mon cœur en l’espace de quelques heures et qui s’étire sur des jours comme le font les amants après l’amour, éveillés par le premier rayon d’un soleil qui les ramène du côté de ce rivage où pousse la vie et où s’étendent les champs infinis du possible même si parfois rien ne semble plus pouvoir être ou avoir été…
Joseph Castel
Monique m’a offert ce poème, il y a plusieurs années:
Entre givre et rosée
Rêves et confidences subliment nos errances
Et des mots de porcelaine guident nos chimères incertaines
Aux jardins d’ombre et de lumière
Délires et mouvances disent notre inconstance
Et dénouent mille sortilèges dans la féerie des cortèges
Enchantement, gestes illusoires
Des soleils invisibles peuplent nos âmes fragiles
Aux remous de la mémoire où s’éternisent nos espoirs
Oh souvenances
Châteaux d’enfance
S’inventer pour renaître dans la musique des rêves
Entre l’oubli et l’absence
Près d’éphémères présences
Lunes d’opale
Fleurs de mystères
Fabuleuses rencontres
Nostalgie vagabonde
D’invraisemblables promesses enlacent toutes nos vies
Entre givre et rosée
Au coeur de l’ivresse
D’hier à demain
Bonté, générosité, grandeur d’âme, voilà les mots qui me viennent à l’esprit quand je pense à Monique. Je ne l’ai jamais rencontré, mais son aura virtuelle transperçait l’écran.
Au revoir Monique.
j’entends encore vos encouragements.
bien à vous.
Mes condoléances aux membres de sa famille et à ses proches. Il me restera toujours, au fond du coeur, le souvenir d’une femme hors du commun.
Bon voyage Monique.
Je t’embrasse
Nicole
Toutes mes sympathies aux proches de Monique.
Monique était toujours présente sur MON FaceBook pour m’encourager dans mon entreprise. Ses poèmes me faisaient invariablement réfléchir. Hommage à cette grande dame qui laissera de nombreux écrits inspirants sur son passage.
À toi qui souhaitais voyager davantage je souhaite « Bon voyage, Monique! ».
Affectueusement,
Sylvie
En me levant ce matin, j’ai vu tous ces arbres aux troncs tordus gonflés de neige et je me suis dit: Monique aimerait…
Être de silence et de parole,
Être de poésie et de musique,
Être de mystère et de simplicité,
Femme exceptionnelle, quel privilège de t’avoir croisée, quel privilège d’avoir été nourrie par la beauté des images que FB me transmettaient quotidiennement…
Monique a su partager sa sensibilité, son sens poétique et sa philosophie avec générosité.
Son amour de la langue dans toutes ses nuances a fait écho à travers son écoute, sa réflexion et son intelligence des situations. Elle connaissait la valeur des silences dans le dialogue et la recherche de sens.
Une grande femme d’exception!
Sincères condoléances.
Reinelde Landry
A une amie numérique et bien réelle avec laquelle nous partagions le plaisir des mots et le bonheur d’apprendre autrement,
J’apprends tardivement une nouvelle qui m’attriste. Que ma mémoire et celle des réseaux conservent de toi le profond humanisme et les mots si bons.
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/02/05022014Article635271884312232751.aspx
Être de chaleur
Être de bonheur
Être de passion
Être de compassion
Amoureuse des mots
Amoureuse des enfants
Amoureuse des siens
Amoureuse de la vie
Les projets laissés en plan
Les amis qu’elle choyait
Les siens qu’elle aimait tant
Partie trop tôt, elle aura laissé sa marque dans ma vie
Condoléances sincères à la famille et aux proches de Monique.
Lisette
My deepest condolences to Monique’s family, friends and colleagues. She was a very special person and will be missed by many. May the memory of her kind soul bring those comfort, in times of need.
Je t’aime Monique, tu seras toujours là, comme un petit oiseau.
Que de gens ce soir qui n’ont que de bons mots à l’égard d’une grande dame de l’éducation, d’une dame merveilleuse. Tu as su et tu marqueras encore plusieurs d’entre nous. Toutes mes sympathies à la famille et courage.
Je t’écris un mot Monique puisqu’on m’avise que durant mon absence, tu étais partie en voyage. Je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de te saluer avant ton départ. Et comme il y a des destinations dont on ne connaît pas les territoires, j’ignore à quel moment nos chemins se recroiseront.
Juste au cas où ce soit un peu long, je veux seulement compléter les derniers courriels que nous avons échangés. Il me restait tant de mots à te dire. Mes doigts sur le clavier les gardent en mémoire et te les diffuseront à distance.
Mes messages continueront à s’adresser à Toi la curieuse, celle qui a gardé tout l’émerveillement de l’enfance et qui en ce sens, se pose continuellement cette éternelle question des tout-petits « Pourquoi ceci ? », « Pourquoi cela ? » et qui se lance avec passion dans la recherche de réponses…. Crois-tu qu’on pourra la laisser tranquille ?
Mes messages s’adresseront aussi à Toi, celle qui par humilité prétendait toujours ne rien savoir sur les sciences humaines, qu’il s’agisse de pédagogie ou autre, et qui pourtant, en un tournemain nous séduisait par la clarté et la profondeur de ses informations. Crois-tu que nos cerveaux pourront la laisser tranquille ?
Mais surtout, Toi la femme Monique, l’être au plus grand cœur que je connaisse, aux plus grandes oreilles ouvertes sur nos joies ou nos détresses, au regard qui en un instant nous ouvrait les bras, crois-tu que nous pourrons vivre sans tout cela ?
Alors, tu as sans doute compris Monique, tu n’as qu’un court répit devant toi, nous te laissons t’installer dans tes nouveaux quartiers, mais sois certaine que sous peu, tu recevras nos innombrables demandes et je suis convaincu, te connaissant, qu’avec ton sourire indélébile, tu y répondras à ta façon.
Au revoir Monique et à tout bientôt.
Michel Clément
Pour celle qui vit encore dans les coeurs cette strophe écrite selon la contrainte du « jeu de la vie »:
Monique Le Pailleur
Qu’on grave le mémorial
Car une reine du songe
Repart et le vent filant suit